ALVALG change de forme !

Un an de guerre !

Voici un an que vous suivez les aventures d’Antoine, Jules, Ludivine, Klaus, Jeanne, Howard, Neville et tant d’autres. Un an, des derniers jours de paix de l’été 1914 à la meurtrière offensive de l’Artois de 1915. Un an, jour après jour, au front comme à l’arrière, en France comme à l’étranger…  et pour cela, merci à vous, lecteurs et lectrices !

Vous avez été nombreux à nous demander s’il y aurait une version papier d’À La Vie, À La Guerre (ALVALG). Et la réponse est : nous y travaillons !

Mais pour ce faire, cela signifie changer de forme, l’adapter, en faire un véritable roman où les différents narrateurs se croisent au sein du même ouvrage… bref ! Pour pouvoir pleinement nous y consacrer et vous raconter la suite des aventures de nos héros, jusqu’à la fin de la guerre ou de la leur, il nous faut prendre une terrible décision : arrêter le temps réel !  Ce site ne sera donc plus alimenté à partir de la semaine prochaine, mais restera en ligne pour permettre à tous nos lecteurs, nouveaux comme anciens, de se replonger dans les archives et de suivre cette première année de guerre.

ALVALG va ainsi rentrer dans son cocon le temps de se métamorphoser. 

La décision n’a pas été simple à prendre, mais nous préférons faire ainsi et nous consacrer à accomplir ce que vous avez été nombreux à demander plutôt que d’écrire une version papier, tout en maintenant le temps réel numérique, et en ayant à côté d’autres activités, ce qui risquerait d’en altérer la qualité. Parce que, grâce à vous tous, nous avons l’occasion de faire plus qu’un blog : de vous proposer une véritable saga.  Une ambition qui n’aurait pas été possible sans des lecteurs de qualité.

Et maintenant ?

Dès demain, jeudi 25 juin, vous retrouverez le journal d’Antoine, comme d’habitude, et vendredi, un ultime épisode en ligne. 

Et comme vous l’imaginez, il y aura un cliffhanger, parce que comme chacun sait : l’auteur est un fieffé filou !

Un petit message exceptionnel dimanche, et hop ! Il sera temps d’accomplir le doux rêve du papier.

On se retrouve donc dès demain en 1915. Et bientôt dans le présent, autour d’un exemplaire papier ou même d’un verre, qui sait !

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